
A l’œil a envoyé une série de trois questions à des patrons d’agences de presse photo pour connaître la situation face à cette « guerre » mondiale et sanitaire. Aujourd’hui, la réponse de Jean-Michel Psaïla d’Abaca Press.
Mardi 3 février 2015, le tribunal de commerce de Nanterre a accepté la demande d’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire pour permettre à l’agence de presse dirigée par Jean-Michel Psaïla et Bruno Cassajus de se réorganiser face à la concurrence sauvage qui sévit dans le marché de la photo de presse. Affaire à suivre.
Depuis le début de l’année, c’est la troisième fois que ce jeune photojournaliste séjourne en Ukraine. Il est actuellement en Crimée pour l’agence Abaca press. Lire la suite