Mis à jour le 2 septembre 2022 par la rédaction
J’ai fait connaissance avec la guerre en débarquant en 1976 à Beyrouth lors de mes débuts professionnels avec l’agence Sipa-Press avant de rejoindre Gamma en 1977. Parmi tous les reportages réalisés sur les purulences de l’âme humaine que sont tous les conflits « couverts » de Kolwezi à Kabul, Téhéran ou Bagdad, l’ampleur du massacre de Sabra et Chatila est avec l’exécution d’un traître en Afghanistan celui qui occupe une place à part dans ma mémoire de photojournaliste .Voici pourquoi. Voir la suite