A peine un an après sa reprise par deux « money maker », l’agence Sipa se retrouve dans la tourmente créée par une série de dépôts de bilan des filiales de la seconde agence de presse allemande DAPD. Pendant que l’un des actionnaires joue les filles de l’air, 127 salariés et des dizaines de millions de photos dansent sur un fil.
Article publié dans l’édition du 12 nov 2012 du Journal de la Photographie
Dernière révision le 23 janvier 2024 à 7;49 par la rédaction
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